Bergerac : Un Nouvel Élan pour 2026 !

🇫🇷 Félicitations à Christian Gerard, candidat du Rassemblement National à Bergerac !

Retrouvez le discours de ce jeune de 25 ans, qui peut devenir maire le 22 mars prochain ! 🗳️

Mesdames, Messieurs les parlementaires,
Mesdames, Messieurs les élus locaux,
Chers adhérents et amis,
Mais surtout chers Bergeracois,
Tout d’abord, merci, chère Edwige, d’avoir accepté de venir à Bergerac partager ce moment important avec nous.

Ta présence est bien plus qu’un simple geste d’amitié politique : c’est le signe d’un engagement commun, celui de femmes et d’hommes attachés à leur pays, à leurs villes, à leurs racines.

Comme toi, je crois en une France des territoires, celle des gens qui travaillent, qui s’engagent et qui aiment leur pays sans jamais s’excuser de le faire.

Tu es une femme de conviction, sincère, courageuse, qui ne fuit pas le débat et qui défend les valeurs qui nous rassemblent : le respect, la justice, la liberté et l’amour de notre France.

Merci pour ton soutien, ton écoute et ta fidélité envers ceux qui œuvrent localement, avec le cœur, pour redonner espoir à nos concitoyens.
Ta présence aujourd’hui donne à notre rencontre une dimension fraternelle.

Aujourd’hui, c’est avec une certaine émotion, mais aussi un certain sens des responsabilités, que je prends la parole devant vous.
Parce que je crois en notre ville, parce que je crois en Bergerac, parce que j’aime cette ville et ses habitants, je vous annonce officiellement ma candidature à l’élection municipale des 15 et 22 mars 2026.

Cette décision, je la prends avec conviction, humilité et surtout avec gratitude envers celles et ceux qui m’ont accordé leur confiance.
Je veux d’abord adresser mes remerciements sincères à Marine Le Pen et Jordan Bardella, pour leur confiance et leur bienveillance. Leur soutien n’est pas seulement politique, il est moral : il traduit une vision partagée de la France et de ses territoires, celle d’un pays qui accorde de l’importance à ses communes et à ses maires.

Je remercie également Florence Joubert, notre déléguée départementale et députée de la 3ᵉ circonscription de la Dordogne, pour sa présence et la confiance qu’elle m’a témoignée dès les premiers instants.

Mais je veux surtout exprimer, du fond du cœur, ma reconnaissance à notre député et ami Serge Muller.

Serge, cela fait maintenant plus de trois ans que nous partageons ensemble cette belle aventure politique.
Tu as cru en ce projet, tu l’as soutenu sans relâche, et tu as accepté, symboliquement, de clôturer la liste que je conduis à Bergerac.
Ta présence, ton expérience et ton engagement sont pour moi un repère et une force.
Merci Serge, pour cette confiance rare et cette fraternité sincère.

Comme beaucoup d’entre vous, je rencontre les mêmes difficultés, les mêmes inquiétudes, mais aussi la même espérance : celle de voir notre ville redevenir ce qu’elle n’aurait jamais dû cesser d’être — une cité vivante, accueillante et fière de son identité.

Depuis plus de trois ans, j’ai eu la chance de rencontrer des centaines de Bergeracoises et de Bergeracois.
Dans les quartiers, sur les marchés, dans les commerces, au détour d’une rue.
Peu importe l’âge, la profession ou la condition sociale, les échanges se terminent souvent de la même manière :
« Bergerac pourrait être une ville magnifique, où il fait bon vivre… si seulement le bon sens revenait au cœur de la politique. »
Et c’est vrai.

Bergerac, avec son histoire, sa position, son patrimoine et son identité si forte en Dordogne et en France, mérite mieux que la résignation et l’oubli.
Personne ne veut voir Bergerac perdre son âme et c’est pour cela que je suis candidat.
Oui, Bergerac mérite une vision pour l’avenir.
Notre ville a une histoire, un patrimoine, une identité que beaucoup nous envient.
Mais aujourd’hui, il faut avoir le courage de le dire : Bergerac n’avance plus.

Partout, les habitants me confient : les commerces ferment, les familles s’inquiètent pour leur sécurité, les jeunes partent faute d’avenir, les rues se vident et la vie locale s’essouffle.

Ce n’est pas une opinion : c’est un constat, que chacun peut faire jour après jour.
La fiscalité locale reste trop élevée, sans que cela se traduise par de meilleurs services publics ou plus de propreté ; les quartiers manquent d’entretien, les infrastructures vieillissent et trop souvent, les décisions sont prises sans concertation, loin du terrain, loin des habitants.

Les Bergeracois, eux, ont le bon sens du quotidien.
Ils ne demandent pas la lune, ils demandent une ville propre, sûre, vivante et bien gérée.
Ils veulent qu’on les écoute, qu’on les respecte, qu’on tienne parole.

Mais depuis trop longtemps, la mairie actuelle n’écoute plus.
Elle gère sans vision pour l’avenir, sans souffle, sans projet.
Et pendant ce temps, Bergerac recule pendant que d’autres communes de Dordogne avancent.
Mais je vous le dis : ce n’est pas une fatalité.
Ce n’est pas une question de taille ni de moyens : c’est une question de volonté, de courage et de bon sens.
Moi, je refuse que Bergerac devienne une ville-musée, une ville qui regarde son passé sans construire son avenir.

Je veux que chaque Bergeracois, qu’il habite le centre ou les quartiers périphériques, puisse dire :
« Oui, je suis fier de ma ville. Oui, Bergerac redevient belle, sûre et dynamique. »
Et c’est précisément le sens de ma candidature : rendre à Bergerac la place qu’elle mérite en Dordogne.
Dans toutes les communes où le Rassemblement National a gagné en 2014, les maires sortants ont été réélus dès le premier tour en 2020, avec des scores très élevés : plus de 74 % à Hénin-Beaumont et près de 60 % à Beaucaire.

Stabilité, voire baisse de la fiscalité locale, sérieux budgétaire, maîtrise de la dette et accent fort mis sur la sécurité et l’ordre public sont fréquemment cités comme des réussites de la gestion Rassemblement National.
Pour que Bergerac retrouve son élan, il faut du bon sens, de la clarté et une vision pour l’avenir.
Ainsi, notre projet repose sur de grands axes inspirés des mairies qui ont réussi, simples dans leurs mots mais ambitieux dans leurs objectifs. Des piliers pour reconstruire une ville fière, sûre et vivante.

1. La sécurité et la tranquillité publique
La sécurité n’est pas un sujet secondaire, c’est la première des libertés.
Aucune politique locale n’a de sens si les habitants ne sont pas en sécurité dans leurs rues, leurs commerces ou leurs écoles.
Nous renforcerons la police municipale, nous installerons la vidéoprotection et nous assurerons une présence visible et efficace sur l’ensemble de la ville.
Nous soutiendrons les forces de l’ordre, mais aussi les habitants qui veulent s’impliquer dans la vie de leur quartier.
Parce qu’à Bergerac, la tranquillité doit redevenir une évidence, non pas un privilège.
2. Commerce et dynamisme
Le centre-ville, c’est le cœur battant de Bergerac, mais ce cœur s’essouffle. Les commerces ferment, les artisans peinent à tenir et les rues se vident.
Nous mettrons en place un plan global afin de dynamiser les commerces, fondé sur trois priorités : soutenir ceux qui existent, attirer de nouveaux acteurs économiques et simplifier la vie de ceux qui entreprennent.
Nous miserons sur les circuits courts et les acteurs économiques locaux.
Notre objectif est simple : que Bergerac redevienne une ville d’activité, d’emploi et de fierté économique.
3. Logement, fiscalité et écologie
Trop de jeunes, trop de familles, trop de seniors cherchent un logement accessible et adapté à leurs besoins.
Nous voulons rendre le logement à nouveau possible à Bergerac : en rénovant l’ancien, en soutenant les constructions cohérentes et en évitant les projets démesurés qui défigurent la ville.

On ne peut pas parler logement sans parler fiscalité. Nous agirons aussi sur la fiscalité locale.
Pour cela, nous ferons un audit complet des finances de la ville pour traquer les gaspillages et rendre à chaque euro sa valeur.
Notre ambition : une gestion rigoureuse, transparente et équitable — afin que le service public soit à la hauteur de l’impôt que nous payons.

Enfin, nous aimons notre cadre de vie, notre nature, nos espaces verts et notre environnement.
Mais nous refusons les idéologies qui culpabilisent et divisent.
À Bergerac, nous mettrons en œuvre une écologie du bon sens, concrète et non clivante, au service de la qualité de vie de tous.
Cela passera par la propreté urbaine, l’entretien régulier des quartiers, la préservation du patrimoine et la valorisation des bords de la Dordogne.

Parce qu’aimer Bergerac, c’est aussi la rendre plus belle, plus propre et plus agréable à vivre.
Pour finir, le SMD3 : un système aujourd’hui largement controversé, reconnu comme coûteux et n’ayant d’incitatif que le nom.
Ce mode de collecte n’est pas adapté à notre territoire.
Je m’engage devant vous, une fois maire de Bergerac, à œuvrer dans l’intérêt général pour ouvrir une nouvelle voie : une voie plus transparente, plus efficace, véritablement incitative et à l’écoute des usagers, en rupture totale avec le système actuel.
Ces axes ne sont pas des promesses : ce sont des engagements clairs et mesurables.
Ils guideront chacune de nos décisions, parce que nous voulons rendre la parole aux habitants et redonner une vision pour l’avenir de la ville.
Je sais que cette campagne ne se fera pas seule, ni sans débats.
Et c’est tant mieux : la démocratie, c’est aussi la confrontation des idées.
Il faut le dire clairement : trois camps s’opposent aujourd’hui à Bergerac.
L’équipe sortante, l’équipe du pire, et notre équipe : celle de l’avenir.
L’équipe sortante, avec Monsieur Prioleaud, a eu des années pour agir, mais elle a échoué.
Il n’a pas redonné vie à notre ville.
Et pire encore, il évite le contact avec les Bergeracois et nous méprise.
Il méprise le premier parti de France, le Rassemblement National.

Il ne veut pas se confronter aux Bergeracois, il fuit le dialogue, il se cache derrière des décisions prises seul dans son bureau.
Les habitants ont le sentiment d’un maire absent, d’une municipalité qui décide sans écouter, qui gère sans concertation.
Cette manière de gérer n’est plus acceptable.
Les Bergeracois n’ont pas besoin d’un maire invisible, ils ont besoin d’une équipe présente, accessible et courageuse.
Et de l’autre côté, l’extrême gauche : l’alliance du chaos et du pire de la politique.
Monsieur Ruet a choisi l’alliance du pire.
Socialistes, communistes, écologistes, radicaux de gauche et, pour couronner le tout, car la honte ne l’a pas arrêté La France Insoumise.

Oui, vous avez bien entendu : une alliance avec La France Insoumise, ce mouvement dont certains responsables ont osé dire qu’« un policier tué, c’est une voix de moins pour le Rassemblement National ».
Les mêmes qui souhaitent désarmer notre police municipale.

Ces phrases, indignes et inhumaines, devraient suffire à disqualifier moralement toute alliance.
S’allier à cela, c’est fermer les yeux sur la haine du pays, sur le mépris des forces de l’ordre, sur la fracture que ces gens creusent dans la République.
Et ça, nous n’en voulons pas, les Bergeracois n’en veulent pas !
Là où d’autres divisent, nous rassemblerons.
Là où d’autres dépensent sans compter, nous gérerons avec sérieux.
Là où d’autres parlent d’idéologie, nous parlerons de Bergerac et de ses habitants.
Parce que notre combat n’est pas celui d’un dogme, mais celui d’une ville qui veut se relever et d’habitants qui veulent de l’alternance.
Je le dis avec fierté : je ne suis pas seul dans cette aventure.
Autour de moi, il y a une équipe solide, soudée, compétente et profondément attachée à Bergerac.
Ce ne sont pas des professionnels de la politique.
Ce sont des femmes et des hommes du terrain, des citoyens engagés, des Bergeracois de toutes générations et de tous milieux, unis par une même volonté : redonner vie à notre ville.
Chacun aura sa place, son rôle et sa mission.
Ce que nous voulons incarner, c’est une nouvelle façon de gérer :
• une mairie ouverte et à l’écoute,
• des décisions claires et expliquées,
• une gestion rigoureuse et humaine,
• une relation de confiance entre les élus et les citoyens.

Mes chers amis,
L’élection municipale des 15 et 22 mars 2026 sera un moment décisif pour Bergerac.

Elle ne se résume pas à un choix de personnes, mais à un choix de vision pour l’avenir.

L’alternance est possible.

Je crois en Bergerac.
Je crois en ses habitants.
Ensemble, faisons renaître la fierté de Bergerac.
Vive la République,
Vive Bergerac !

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