Crise financière en Gironde : Mauvaises décisions et incompétence budgétaire à l’origine du désastre

🚨 Situation alarmante des finances du Conseil départemental de la Gironde : résultat de la préférence étrangère et de l’incompétence budgétaire de la NUPES

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Récemment, Jean-Luc GLEYZE s’est répandu dans la presse pour indiquer que les finances du Conseil départemental de la Gironde qu’il dirige depuis plusieurs années grâce à une coalition électoraliste de gauche sont « au bord de l’asphyxie ».

Cette communication de crise vise à préparer les esprits à une trahison imminente des valeurs de solidarité, de proximité et d’écologie, jadis portées par la gauche, que le Président s’apprête à réaliser : diminuer drastiquement, et de manière inédite, les subventions accordées aux communes (qui passeraient de 30 millions à 15 millions d’euros), aux associations sportives et culturelles, annuler la construction d’un ou plusieurs collèges, remettre en question le financement du RER métropolitain (pourtant essentiel au désenclavement du Blayais)…

Cependant, la situation alarmante des finances du Département n’est pas le fruit d’une fatalité. Elle est le résultat de l’accumulation de mauvaises décisions politiques, de l’aveuglement idéologique et du soutien assumé à la préférence étrangère au détriment de la solidarité au bénéfice des Français.

En effet, le Président se plaint des pertes de recettes liées à la taxe sur les produits pétroliers (TICPE) ainsi que celles émanant des droits de mutation sur les biens immobiliers (DMTO). Or, ce sont précisément les parlementaires NUPES qui, main dans la main avec les Macronistes, prônent la décroissance (fin de la mobilité en voiture, bannissement de la maison individuelle, freins à la construction…), ce qui entraîne mécaniquement un ralentissement économique et la diminution des transactions immobilières.

En outre, avant sa censure partielle prononcée par le Conseil Constitutionnel, la loi immigration prévoyait de durcir les conditions d’attribution de l’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA) versée par les Conseils départementaux aux étrangers. Alors que cette aide concerne des centaines d’étrangers en Gironde, le Président s’était affiché, aux côtés notamment du Président du Conseil départemental de la Seine-Saint-Denis. Ensemble, ils ont affirmé qu’ils appliqueraient la « désobéissance civile » et qu’ils ne respecteraient pas la loi, fermant ainsi la porte à des millions d’euros annuels d’économie.

Au lieu d’imposer subitement l’austérité aux Girondins, le Président pourrait soutenir la
proposition du Rassemblement National visant à réserver le Revenu de Solidarité Active (RSA) aux Français ou aux étrangers (avec une limitation de durée) ayant travaillé au moins durant 5 ans à temps complet.

Pour information, le budget prévisionnel 2024 du Conseil départemental révèle que le montant alloué au financement du RSA s’élève à 278 millions d’euros par an. Par ailleurs, le Gouvernement indique qu’au niveau national, les étrangers extra-européens représentent environ 15% des bénéficiaires du RSA…

De surcroît, le financement de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) incombe aux départements et inclut la prise en charge des Mineurs Non Accompagnés (MNA), dont le nombre a bondi dans notre département de 67% entre 2017 et 2020, pour atteindre 1324 individus.

Il convient de préciser que, selon l’Association des Départements de France, la prise en charge d’un MNA coûte en moyenne 50 000 euros par an et que, selon l’ancien Président du Conseil départemental de Seine-et-Marne, les cas de fraudes sont légion.

Enfin, le Département fait le choix de financer des associations immigrationnistes, à l’image des 50 000 euros versés il y a quelques mois à SOS Méditerranée.

Cette situation financière catastrophique aura au moins un mérite : mettre un coup d’arrêt à la volonté dispendieuse manifestée en 2021 par le Président GLEYZE et ses amis de la NUPES d’élargir l’éligibilité du RSA aux plus de 18 ans (et non 25 ans comme la loi le prévoit).

En outre, cette politique irresponsable du Président ne pourrait exister sans le consentement et le soutien des six Conseillers départementaux de la circonscription, qui cumulent autant leurs mandats que leurs mauvaises décisions :

Pour le canton de l’Estuaire :
– Louis CAVALEIRO: Maire d’Étauliers, Vice-Président de la Communauté de
Communes de l’Estuaire et Vice-Président du SMICVAL ;
– Valérie GUINAUDIE: Maire de Mombrier et Présidente de la Communauté de
Communes du Grand Cubzaguais.

Pour le canton du Nord-Gironde :
– Florian DUMAS : Maire de Civrac-de-Blaye et Vice-Président de la Communauté de
Communes Latitude Nord-Gironde ;
– Célia MONSEIGNE: Maire de Saint-André-de-Cubzac et Vice-Présidente de la
Communauté de Communes du Grand Cubzaguais.

Pour le canton du Nord-Libournais :
– Sébastien LABORDE : Conseiller municipal de Saint-Denis-de-Pile, Vice-Président de la
CALI et du PETR du Grand Libournais, et Secrétaire Départemental du Parti Communiste ;
– Michelle LACOSTE : Conseillère municipale d’opposition à Coutras et conseillère
communautaire à la Communauté d’Agglomération du Libournais (CALI).

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